Fort de millions de streams et d’une fanbase solide, il est devenu l’un des artistes incontournables de la scène rap francophone de sa génération.
Un passionné de rap

Le rappeur franco-polonais, né en 1997, baigne dans le hip hop et le rap depuis son enfance. Sa passion se développe rapidement, et il choisit comme nom d’artiste PLK – le diminutif de POLAK, le surnom de père d’origine polonaise. Il commence ainsi le rap très jeune – il connaitra un premier succès avec le groupe Panama Bende formé en 2014 au côté d’artistes comme Aladin 135 ou Lesram avec qui PLK continue encore aujourd’hui de collaborer.
En parallèle de son groupe, le rappeur lance sa propre carrière sol avec ses premiers EP Peur de me tromper et Dedans. Mais il rencontrera un premier succès avec une série de mixtapes : Ténébreux en 2017 et Platinum en 2018 qui comprenait les titres clipés A A A, Pas les mêmes, Dis-moi oui cumulant rapidement des millions de vues et faisant connaître le rappeur auprès d’un large publique. La même année, il sortira Polak, son premier album studio, dont plusieurs morceaux deviennent rapidement des disques d’or, diamant et platine. PLK entre donc dans la scène mainstream du rap français, faisant des featuring avec des rappeurs comme Nekfeu ou SCH, enchainant les sans fautes depuis son lancement de carrière en solo.

Très actif et toujours en studio, il sort dès 2020 une mixtape intitulée Mental – à nouveau certifiée disque d’or en un mois. Si le rappeur ne fait pas parler de lui en dehors de ses sons, il parvient à amasser un publique fidèle, en mixant des sons mainstreams aux refrains entêtants, d’autres sons de rap pur au prod’ minimaliste sans mélodie, et le recette continue de prendre. Il est au sommet de son art dans son deuxième album studio Enna qui ne déroge pas à la règle et devient rapidement disque de platine en quelques mois. Enfin en 2023, il publie « 2069’ », un projet ambitieux créé avec sa communauté en live. Il attribue à une dizaine de fans des rôles clés pour créer son album que ce soit l’aspect marketing et communication jusqu’à l’instrumental des titres présents dans l’EP.

Mon son préféré de PLK : Aimer
Le son introspectif et mélancolique tranche avec l’univers habituel de PLK, loin des titres purement egotrip auxquels l’artiste nous a habitués. Avec « Aimer », il s’expose avec une rare vulnérabilité et expose ses difficultés à aimer et à être aimé, dans un climat où les relations sont abîmées par le doute, la fierté, le passé et la peur de souffrir. Il évoque une relation instable, marquée par une distance émotionnelle qu’il ne parvient pas à combler.
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